[AGENDA] Les concerts de septembre 2025

L’été commence à toucher à sa fin, mais avec la rentrée reviennent également les concerts en salle ! Voici les dates à retenir pour un retour au travail… tout en douceur et en finesse !

Sakis Tolis (Rotting Christ) – 4 septembre – Backstage By The Mill, Paris

Arkangel + Sorcerer + Nothin But Enemies – 05 septembre – Glazart, Paris

No Face No Case

  • 5 septembre – Backstage By The Mill, Paris
  • 6 septembre – Spread Of Rage Festival, Essouvert
  • 7 septembre – Triplettes Social Club, Ambérieu-en-Bugey

SepticFlesh + Heart Attack – 6 septembre – Opéra de Nice

Atheist + Origin + Death Rattle + Gorgatron + Intrepid – 17 septembre – Glazart, Paris

Forever Nu ! The Tribute Festival European Tour 2025 :

  • 17 septembre – Le Ferrailleur, Nantes
  • 18 septembre – Nouveau Casino, Paris
  • 19 septembre – La Puce à L’Oreille, Riom
  • 20 septembre – Le Rex, Toulouse
  • 21 septembre – Secret Place, Montpellier
  • 26 septembre – Rock’n’Eat, Lyon

Metal Tribute Night – 18 septembre – Le Bateau Phare, Paris

Ashen :

  • 19 septembre – Le Molotov, Marseille
  • 20 septembre – Rock’n’Eat, Lyon
  • 24 septembre – Le Rex, Toulouse
  • 25 septembre – Sortie 13, Pessac
  • 26 septembre – Le Ferrailleur, Nantes

Kilowatt Metal Tribute – 20 septembre – Kilowatt, Vitry-sur-Seine

Skalp’Hell Fascht – 20 septembre – Noumatrouff, Mulhouse

Urne :

  • 19 septembre – La Maroquinerie, Paris
  • 20 septembre – Le Grand Mix, Tourcoing
  • 22 septembre – Le Rex, Toulouse
  • 23 septembre – Le Transbordeur, Lyon

Wiegedood – 23 septembre – Petit Bain, Paris

Violent Magic Orchestra – 23 septembre – le Molotov, Marseille

Poison The Well – 24 septembre – Backstage By The Mill, Paris

Die Krupps – 24 septembre – Petit Bain – Paris

Tesserac’t + Vestige – 25 septembre – Le Rex, Toulouse

The Iron Trooper (Tribute to Iron Maiden) – 25 septembre – Bateau Phare, Paris

The Vintage Caravan – 26 septembre – Petit Bain, Paris

Hexecutor – 27 septembre – Jardin Moderne, Rennes

Der Weg Einer Freiheit – 28 septembre – Petit Bain, Paris

Wolfheart – 29 septembre – Backstage By The Mill, Paris


Architects – 29 septembre – Adidas Arena, Paris

Fabio Lione’s Dawn of Victory – 30 septembre – Nouveau Casino, Paris

Bleed From Within – 30 septembre – La Rayonne, Lyon

Dark Tranquility + Soen + Equilibrium + Iotunn – 30 septembre – Bataclan, Paris

Tu as un groupe, vous donnez un concert en septembre et tu ne le vois pas dans cette liste ? N’hésite pas à nous faire un mail !

[CHRONIQUE] Dropout Kings – Yokai

Groupe de Rap Metal originaire des Etats-Unis, les Dropout Kings avait provoquée une sacrée sensation après leur prestation électrique au Hellfest 2024. Si le décès soudain d’un de ses chanteurs principaux, Adam Ramsey, a jeté une vague d’incertitudes quant à l’avenir du groupe. Ils semblent vouloir continuer, en son honneur, en commençant par sortir « Yokai », le nouvel finalisé deux semaines avant cet événement tragique.

Et on peut dire que ça nous attaque d’entrée avec le puissant « Black Sheep » : riffs perçant de Rob Sébastien, rap percutant du Black Cat Bill Lauderdale, ça nous met dans le bain de la meilleure des façons ! Tous les autres titres alternent épisodes groovy, hard rap, et morceaux plus américano-pop qui semblent sortir de nul part tellement c’est incongru (« First Day Out »).

C’est assez inégal entre des morceaux bien plus faibles (« Guillotine », « Eye Bleach ») et des tracks absolument monstrueuses : « Brace Yourself », mais surtout « Baka » et « Yokai » semblent avoir été littéralement taillés dans la roche – et surtout pour le live (on a bien hâte de voir ça !) la voix de Ramsey se fait extrêmement émouvante, parfois dure, à la limite d’un growl bien senti. Et dire que c’est la dernière fois que nous l’entendrons.

Ce « Yokai », malgré son inégalité, a été une bonne surprise : le caractère groovy et percutant de la majorité des morceaux comble ceux, plus pop et mielleux, qui sortent d’un ensemble et d’une logique établie. Un bel objet qui ravira les fans du groupe, et le plus bel hommage qui soit à Adam Ramsey, parti bien trop tôt.

8,75/10

[CHRONIQUE] Sinsaenum – In Devastation


On ne pensait plus revoir Sinsaenum, depuis leurs premiers essais, réussis, qui remontent à 2016-2017. Ebranlés par de nombreuses épreuves, avec, entre autres, la pandémie mondiale de Covid-19 et surtout la perte de leur batteur Joey Jordisson, c’est avec courage et beaucoup d’audace que le supergroupe emmené par Frédéric Leclerq, se présente de nouveau face au monde et avec, en guise de nouveau batteur (et c’est un bel hommage) André Joyzi (ancien Drums technicien de Jordisson !)

« In Devastation » est plus qu’un nouvel album, c’est le manifeste de la douleur, de la rage et de la rédemption, enveloppé dans une strate assez mélodique qu’on n’attendait pas forcément, tant le premier opus a été un uppercut de violence ! On a donc beaucoup d’émotions – sans que cela ne tombe forcément dans le pathos – et le groupe se permet d’explorer et d’adopter, par moment, des aspects plus death mélo (plus particulièrement sur « Shades Of Black ») voir plus Metal Américain des années 1990 (« Obsolete » notamment). Il faut dire qu’il y a matière à y mettre un peu plus de sensibilité dans la musique ! « Last Goodbye » est extrêmement émouvante par ses appuis mélodiques mais surtout par sa grande qualité d’écriture.

Bon, rassurez-vous, l’album n’est pas mielleux pour autant : « Spiritual Lies » ou encore « Buried Alive » sont des véritables bourrasques de violence (faisant parfois penser à Morbid Angel !). On a notre petite préférence pour le titre d’ouverture, « In Devastation », vrai bel hymne black qu’on a hâte d’entendre en live ! Mais il y a eu un travail fourni sur les différences influences sur cet album : on vous conseille bien plusieurs écoutes pour en saisir toutes les subitilités.

Sinsaenum effectue ici un formidable retour aux affaires avec « In Devastation », un album très surprenant, qui va à la rencontre de divers horizons, et émouvant, par les messages portés : le deuil, mais aussi la résilience, pour continuer à vivre. Un album, certes de death metal, mais surtout, un album vivant et audacieux.

9,5/10

[CHRONIQUE] Halestorm – Everest

La popularité des Halestorm n’est aujourd’hui plus à prouver : le groupe, toujours mené par une Lzzy Hale infatigable, multiplie les albums à succès et les tournées à guichet fermé. Le nouveau venu, « Everest », sorti ce vendredi, ne dérogera probablement pas à la règle.

Comme à son habitude, les morceaux de cet nouvel opus se suivent avec riffs acérés et mélodies rock’n’roll endiablées. Halestorm commence pourtant par de l’émotion avec le beau « Fallen Star », sur lequel la voix de Lzzy Hale se fait plus tendre et plus sensible qu’à l’accoutumée.

Et il faut dire que nous allons passer par une montagne russe d’émotions avec cet « Everest » : sombre, d’abord, avec le rageur « Watch Out » durant lequel la célèbre chanteuse semble régler ses comptes, puis lumineux avec des morceaux comme « Like A Woman Can ». C’est, par ailleurs, à notre sens, le meilleur morceau, et celui qui nous a le plus surpris tant l’inspiration soul transparaît à grosses gouttes (et ce n’est pas pour nous déplaire, bien loin de là!).

En revanche, et si la reine Hale nous régale par ses immenses prouesses vocales et bien… le reste ne semble pas suivre, peut-être pour lui laisser le plus de place possible (il faut tout de même noter quelques coups d’éclats de Joe Hittinger à la gratte). C’est dommage, car je pense que chacun des musiciens devraient avoir sa place pour s’exprimer, et ici, plus que dans d’autres groupes, on sent bien que ce n’est pas le cas. Mais cela ne rend pas l’ensemble inécoutable, bien au contraire, tant Hale fait le job à la perfection.

« Everest » est donc de l’authentique Halestorm qu’on pourrait résumer en trois mots : sensible, sombre, rageur. L’album ne va rien révolutionner en soi, et ne se targue pas de le faire d’ailleurs : les fans de la première heure devraient fortement apprécier l’album. Nous avons pris beaucoup de plaisir à l’écouter.

9/10

[CHRONIQUE] Lord Of The Lost – Opvs Noir Vol 1 (Coup de coeur)

Après une incursion dans son côté plus pop, avec la sortie de l »album « Blood & Glitter » (2022) suivi d’une participation à l’Eurovision et d’un autre album de reprises, les Lord Of The Lost reviennent dans un registre bien plus sombre avec leur nouvel album, « Opvs Noir Vol 1 ».

Quand on commence à explorer divers horizons sans craindre le moindre jugement, c’est qu’on a acquis assez de bouteille pour avoir confiance en soi et en son art. L’évolution de Lord Of The Lost est tout à fait fascinante depuis ses quatre dernières années, tant le groupe s’est essayé à plusieurs genres, plus particulièrement la pop, avec succès, tout en gardant son identité visuelle et sonore, et sans en profiter pour jouer les opportunistes comme un certain groupe à chanteuse néerlandais.

Pourtant, le groupe a décidé de mettre un terme à ce chapitre et de faire, cette fois, l’éloge de la mélancolie dans une pépite gothique à souhaits.

« Opvs Noir Vol 1 » ne va donc pas du tout dans la même direction, si ce n’est que de nombreux morceaux ont des refrains extrêmement catchy (« My Sanctuary », « I Will Die In It » par exemple). On remarque des mélodies particulièrement belles, un chants qui se fait harmonieux et puissants, avec une utilisation du grunt particulièrement bien dosée. C’est un voyage remplis d’émotion que nous propose les teutons ! La qualité dans certains écrits (« The Things We Do For Love » « The Sadness In Everything ») est indiscutable et contraste avec des morceaux qui sont plus taillés pour le live (« Lords Of Fyre » ). Les invités sont bien choisis : d’ailleurs, le morceau avec Within Temptation, « Light Can Only Shine In The Darkness » est somptueux, émouvant – j’en ai même versé ma petite larme. « Moonstruck », lui fait surtout penser, par ses orchestrations, à du Dimmu Borgir. Un bel hommage au groupe nordique !

On notera que sur certains morceaux (et surtout sur « Damage », on entend quelques relents indus. Histoire de prouver, qu’on peut faire ce qu’on aime et vouloir évoluer sans renier pour autant ses racines.)

Et d’ailleurs, peut-on encore parler d’étiquettes pour Lord Of The Lost ? Le groupe s’est affranchi des barrières pour évoluer dans ce qu’il lui plaît. Et quand on est un musicien passionné, talentueux, avec un vrai projet musical comme « Opvs Noir », ce n’est pas le plus important justement ?

Car cet album est justement le premier d’une trilogie (Vol 2 en décembre 2025, Vol.3 en avril 2026), et nous met l’eau à la bouche concernant la suite. L’album est un vrai voyage au-delà de nos émotions, un vrai retour à un gothisme moderne, rare, rafraichissant, et excellent à écouter de bout en bout. Un beau joyeux à écouter sans fin. Bravo à Lord Of The Lost.

10/10

[ALERTE FESTIVAL] Que faire cet été – Le Fertois Metal Fest (dans le 77)

Tu n’as pas eu ton pass pour le Hellfest, et tu te sens déboussolé, désoeuvré, déprimé ? Pas de panique, on a une sélection pour toi de petits festivals bien sympathiques à travers la France à faire cette été, qui sauront satisfaire tes jolies petites cages à miel. Alors prépare ton sac à dos car tu vas voyager…

Et cette fois on est de retour en Île-de-France, et plus précisément à la Ferté-sous-Jarre pour le Fertois Metal Fest ! Petit festival mais hautement sympathique, avec une équipe de passionnés les plus gentils du monde (oui) qui fera, cette année, sa septième édition.

Et sur cette beauté qu’est cette affiche, on retrouve de grands groupes : Headcharger, LocoMuerte, Koritni, Harsh, Porno Graphic Messiah ou encore Attractive Chaos parmi les plus connus.

Une belle petite ambiance familiale règne sur ces terres. Et pour un tout petit prix : 40 euros le pass 2 jours, camping inclus (mais sans la tente, tient à préciser le site web !). Et ça se passe le dernier week-end d’août, le 30 et le 31 ! Histoire d’attaquer la rentrée plus sereinement !

Alors, t’en seras ?

[CHRONIQUE] Heimat – Heaven Shall Burn

On ne change pas une recette qui gagne ! Après trente ans de carrière, les allemands de Heaven Shall Burn reviennent avec un album à la brutalité encore plus dominante et perçante, « Heimat » le bien nommé. Le groupe rappelle qu’il n’est pas là pour tricoter des pulls en laine. Âmes Sensibles s’abstenir !

Heaven Shall Burn est une des rares formations à ne faire que dans le brutal, sans, parfois, de respiration pour reprendre un peu son souffle avant de se replonger de nouveau dans un déchaînement de violence. « Heimat », de ce point de vue là, ressemble à s’y méprendre au précédent effort du quintette, « Of Truth And Sacrifice » (2020). Mais le son global semble bien plus fort et plus aiguisé, tout en ayant une excellente production, gage de qualité qui rend l’écoute nettement plus agréable !

Et si Heaven Shall Burn n’est pas pour une évolution franche de sa musique, on perçoit tout de même quelques belles lignes mélodiques, notamment à la guitare, mais aussi un chœur clair, jamais trop présent pour laisser la place à l’impressionnant Marcus Bischoff au growl. Cela donne des morceaux époustouflants et surprenants, comme le presque gothique « War Is The Father Of All », un de nos morceaux favoris.

Enfin, l’album est plus court, et un petit peu plus varié, ce qui évite le sentiment de lassitude qui a envahit beaucoup de monde sur « Of Truth And Sacrifice ». Comme quoi, même les plus bourrins apprennent aussi de leurs erreurs.

Heaven Shall Burn est et restera brutal, quoi qu’il arrive, quoi qu’il advienne. Ce « Heimat » est un sommet de violence, mais avec des morceaux assez variés et assez courts pour que l’ennui ne reprenne pas le dessus. Un bel effort qu’on écoutera avec grand plaisir, et qui replace Heaven Shall Burn parmi les plus grand de la scène hardcore européenne.

9/10

[ALERTE FESTIVAL] Que faire cet été – Le Xtreme Fest (Plein Sud, dans le Tarn)

Tu n’as pas eu ton pass pour le Hellfest, et tu te sens déboussolé, désoeuvré, déprimé ? Pas de panique, on a une sélection pour toi de petits festivals bien sympathiques à travers la France à faire cette été, qui sauront satisfaire tes jolies petites cages à miel. Alors prépare ton sac à dos car tu vas voyager…

Cette fois on s’oriente plein sud, pas très loin d’Albi pour aller à la rencontre du Xtreme Festival.

Un grand festival – le plus grand du sud de la France, oserait-on dire ! – qui s’est forgé une solide réputation dans le milieu du hardcore avec des affiches toutes aussi pointues comme des aiguilles les unes que les autres.

Si l’affiche de cette année se veut un petit peu plus généraliste – notamment avec l’arrivée de groupes comme Madam – elle est absolument exceptionnelle ! Mass Hysteria, Madball, Hatebreed, Napalm Death, The Exploited – qu’on ne voit plus très souvent à notre grand regret – Novelists, Locomuerte et bien d’autres encore !

Et le tout sur le superbe site de Cap Découverte dans la petite commune du Garric, et avec une organisation aux petits soins pour ses festivaliers ! Non seulement on retrouvera, gustativement entendons-nous bien, du 100% local, mais en plus le festival organise un « Off » sur toute sa durée ainsi qu’une « After-Party » après la sauterie entièrement gratuites.

Le Xtreme Fest, c’est du 31 juillet au 2 août. Il reste encore des pass 3 jours à 128,08 euros. Le prix est là oui, mais la qualité aussi !

On te retrouve sur place ?

Alter Bridge sort son nouvel album éponyme !

C’est ce 9 janvier que sortira le nouvel album, éponyme, des Alter Bridges ! Une grande tournée européenne suivra d’ailleurs avec plusieurs dates en France ce février.

01. Silent Divide (5:06)
02. Rue The Day (4:46)
03. Power Down (4:08)
04. Trust In Me (4:48)
05. Disregarded (3:55)
06. Tested And Able (4:36)
07. What Lies Within (5:07)
08. Hang By A Thread (4:11)
09. Scales Are Falling (5:54)
10. Playing Aces (4:05)
11. What Are You Waiting For (5:00)
12. Slave To Master (9:03)

6 février – LYON, FRANCE – Halle Tony Garnier
13 février – BORDEAUX, FRANCE – Arkea Arena
18 février – PARIS, FRANCE – Zenith

[ALERTE FESTIVAL] Que faire cet été – Le Sylak Open Air (dans l’Ain)

Tu n’as pas eu ton pass pour le Hellfest, et tu te sens déboussolé, désoeuvré, déprimé ? Pas de panique, on a une sélection pour toi de petits festivals bien sympathiques à travers la France à faire cette été, qui sauront satisfaire tes jolies petites cages à miel. Alors prépare ton sac à dos car tu vas voyager…

On fait maintenant un crochet dans une petite bourgade pas très loin de Lyon, Saint-Maurice-de-Gourdans, où se tiendra (déjà !) la treizième édition du Sylak Open Air.

Si le festival reste plus loin et bien plus excentré que ses prédécesseurs de cette série pour beaucoup d’entre nous – à mon grand désarroi – l’organisation attire de plus en plus de monde avec, encore en 2025, une affiche toujours plus alléchante d’année en année, avec, cette fois, Dimmu Borgir, Mass Hysteria, Candlemass, Harakiri For The Sky, Akiavel, Knuckle Head, Imperial Triumphant, Nanowar Of Steel et bien d’autres encore !

De plus, on peut aussi compter sur pas mal d’animations dont une belle soirée mousse (oui oui, vous avez bien lu) dès le jeudi soir.


Enfin, si le prix augmente (comme tout ma pauvre dame), le tarif reste compétitif pour la qualité de cette affiche : 109 Euros le pass trois jours ! Attention, il ne reste que 250 places en tout, et il n’y a plus aucun billet pour la journée du dimanche. Les enfants de moins de douze ans sont accueillis gratuitement sur le festival.

Et c’est du 1er au 3 août !

Alors, tu y seras ?

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