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Sons Of Apollo : Nouveau clip !

Les Sons Of Apollo ont dévoilé le clip de « Fall To Ascend », disponible ci-dessous :

Le morceau est issu du prochain opus du groupe, « MMXX », prévu pour le 17 janvier 2020 via Inside Out Music/Sony.

Tracklist :

01 – Goodbye Divinity
02 – Wither To Black
03 – Asphyxiation
04 – Desolate July
05 – King Of Delusion
06 – Fall To Ascend
07 – Resurrection Day
08 – New World Today

« Goodbye Divinity » :

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[CHRONIQUE] The Divine Triumph – AcoD

Présent sur la scène française depuis 2009, AcoD, originaire de Marseille, viennent pourtant de prendre leur envol : scéniquement parlant, avec leur victoire au tremplin « The Voice Of Hell », labelliquement parlant, avec leur signature chez la grosse major qu’est Sony Jive Music, et maintenant musicalement parlant avec leur nouvel album, « The Divine Triumph », sorti à la fin de cet été.

Cette galette aurait pu signer un nouveau départ pour le groupe, qui se retrouve maintenant à trois. Mais ce qui aurait pu être un frein était, selon moi, libérateur. « The Divine Triumph », premier-concept album du groupe, fruit d’une « union sacrée », le démontre en étant le Cd le plus abouti et le plus cohérent du groupe, doté d’un véritable univers et ne s’éparpillant pas dans toutes les directions (chose que je reprochais un peu au groupe). Les morceaux, très noirs et d’une violence parfois extrêmes, font remonter des abysses venus tout droit des enfers. Le groupe se permet pourtant un peu plus de digressions, parfois très aériennes (grâce aux orchestrations de Môssieur Richard Fixhead).

Beaucoup de morceaux sortent du lot : pourtant, ma préférée reste « Fleshcell », qui est une balade typiquement black metal, peut-être pas très originale certes, mais terriblement bien foutue, noire à souhaits … tout bonnement belle. Peut-être une façon de dire que malgré l’évolution amorcée, AcoD ne fait pas pour autant une rupture, ne renie pas son passé, mais en tire le meilleur afin d’avancer.

Bref ce « The Divine Triumph » est un excellent cru pour AcoD qui va au-delà même de ce qu’on pouvait attendre du groupe. Reste maintenant à confirmer cette avancée avec une prochaine galette.

9,5/10

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[INTERVIEW] Raph (AcoD) : « On est sûrs de là où on veut aller ».

Fondé en 2009 et arpentant les scènes de France et de Navarre, AcoD ont bien évolué depuis quelques années : victoire au tremplin « The Voice Of Hell », tournées couronnées de succès, signature avec Sony Jive Music … « The Divine Triumph » est le premier concept-album du groupe, fait à trois. Raph, batteur de la formation, a accepté de discuter de cette galette avec nous !

Metal-Actus : Imaginais-tu en arriver à là avec ton groupe ?

Raph (Batterie) : Non, absolument pas. C’est clair que ce qui nous est arrivé depuis « Inner Light » (NDLR : sorti en 2009) est juste incroyable, c’est un « rêve de gosse » même si l’expression reste clichée (rires). C’est juste fou !

Dirais-tu qu’aujourd’hui AcoD a une vraie patte, un caractère propre ?

Je dirai qu’aujourd’hui, on a juste pu exprimer les bases de cela car ce n’est que le premier album où on est tous les trois dans le même sens. Nous ne sommes qu’aux balbutiements de ce que nous sommes réellement. On est sûrs de là où on veut aller. C’est un vrai plaisir de pouvoir, enfin, atteindre un objectif commun. Car les albums d’avant étaient un peu épars, ça partait un peu dans tous les sens. Avec « The Divine Triumph », ça nous permet d’aller plus loin.

Comment a été prise la décision de faire un concept album ?

C’est apparu très rapidement dans la création même de l’album. C’était quelque chose qu’on s’empêchait de faire. On est ultra-fans des années 1980/1990 du metal traditionnel : Horror Dissection, Morbid Angel … ça nous parle et ça nous passionne. Encore aujourd’hui, on écoute les albums et on ne les lâchera jamais. Et on s’est dit « Merde, ils l’ont fait, on va le faire ». Et il y a du contenu, il y a toute une histoire qui a été écrite et qui s’est transformé ensuite en paroles. A côté de ça, Jérôme et moi avons bossé sur la composition : on a taillé les morceaux, on est revenu dessus, chose qu’on ne faisait pas avant, on composait plus à l’instinct – Il y a un univers. Enfin on a fait quelque chose de plus réfléchi.

D’où vient cette histoire ?

C’est Fred qui a commencé à rédiger les premières ébauches de l’histoire. Pour nous, il était évident d’avoir un rapport aux mythologies. C’est l’histoire d’un mec qui a perdu sa femme et sa fille et qui petit à petit voit les abysses grandir, chose dans laquelle il refusait de tomber, mais il va tomber au coeur de ces dernières et il va rencontrer des chimères. Mais tout cela est très métaphorique, puisque tu peux le comparer avec ce qu’il se passe dans ta vie de tous les jours : tu peux te voir à travers le « héros » et te dire que ça peut être un sale moment qui se passe dans cette vie. C’est forcément quelque chose de noir.

Peux-tu nous parler de l’artwork ?

C’est Paolo Girardi, un artiste italien, qui a l’habitude de faire beaucoup dans le metal extrême, comme par exemple pour Inquisition : donc des trucs blasphématoires comme des pentacles, des Satans … Nous, on ne voulait absolument pas ça. On lui a dit quelques mots clefs, si tu veux, comme « Enfer de Dante », « Divinités », des choses simples et précises pour ne pas trop le noyer d’informations – c’est un artiste lui aussi, il a sa patte. On n’a pas eu de nouvelles pendant trois semaines et puis on a eu la pochette finie direct. Et il a tapé dans le mille directement. C’est un vrai tableau qu’il a fait, il est assez grand et il nous a envoyé la photo du tableau – le tableau lui appartenant. Donc toi tu payes le fait d’utiliser ce tableau. Pour le reste du digipack, tout est lié par trois, maintenant qu’on est trois. On avait déjà en tête le symbole du trident qu’on a choisi comme emblème. C’est aussi une arme mythologique, il y a un petit côté occulte.

Comment vous vous êtes retrouvés autour de la composition ?

Jérôme souvent apporte un premier jet et moi à la batterie, je vais l’orienter. On voit les articulations ensemble. On se voit dans notre local de répète pour un premier jet, puis après chacun chez soi bosse sur l’ordinateur, on s’envoie des choses. Petit à petit, on travaille, on revient sur des parties qui nécessitent d’y revenir, on revoit, on remodifie des choses. Fred est très indépendant de tout ça : lui est beaucoup plus sur ses paroles, sur ses textes, et il s’adapte par rapport à ce qu’on fait. Après sont venues les orchestrations.

Que penses-tu de « L’Ascension Des Abysses » ?

C’est le portail, c’est l’ouverture, c’est la découverte au loin, c’est l’accompagnement, le cheminement qui va t’amener, justement, au devant de cette pochette. Ce sont les premières secondes qui sont essentielles à ton abysse. C’est le morceau que tu dois écouter dès le début pour profiter de ton expérience. C’est une introduction pas inutile : il y en a trop qui ne servent à rien, ou qui sont là pour dire « ouais il y a une introduction » (rires) et à chaque fois tu la zappes. Si tu n’écoute pas la nôtre, l’album, ce n’est pas la même chose.

Que peux-tu me dire sur « Fleshcell » ?

C’est un de nos morceaux préférés. C’est un morceau 100% sincère, complètement différent, et c’est un gros risque qu’on a pris parce que c’est une balade limite dans les schémas black metal, mais aussi le morceau le plus noir qu’on ait pu faire. Tu peux entendre des voix féminines, un choeur qui est surtout en référence aux vieux Cradle Of Filth. Vu que c’est un concept album, si tu n’as pas une balade dedans, ce n’est pas un bon concept album : au bout d’un moment, il y a une cassure, le morceau qui va être différent, pesant, lourd, c’est un besoin, c’est nécessaire avant de pouvoir repartir.

Pourquoi avoir choisi de sortir « Road To Nowhere » ?

Pour nous, « Road To Nowhere » est le morceau le plus global de ce que peut être « The Divine Triumph ». Tu retrouve de tout dedans mais c’est aussi celui qui est le plus accessible.

Vous avez déjà sorti deux clips. D’autres sont-ils prévus ?

Pas à l’ordre du jour. Peut-être une lyrics-vidéo par la suite, mais pour l’instant non.

Au niveau concerts, qu’est-ce qui est prévu ?

Alors on l’a appris hier et notre booker, K Productions, nous a autorisé à le sortir aux journalistes : on fera la première partie de Decapitated sur les dates françaises début 2019. Et on sera également présents sur des festivals. Alors je ne peux pas trop rentrer dans les détails pour l’instant, car même nous on ne les as pas (rires); Mais on est dans le processus, c’est déjà ça.

De plus en plus de groupes sortent des concepts albums. Beaucoup pensent qu’il s’agit juste d’une énième tendance qui passera avec le temps. Que réponds-tu à ça ?

Ce n’est absolument pas volontaire. On en a rien à foutre à vrai dire de suivre une quelconque tendance. Aujourd’hui, on peut le faire ce concept album. Avant, on ne pouvait pas. Avec les membres du groupe qu’on avait, on était en quelque sorte « bridés ». On le fait donc car on en a envie, et ce n’est pas pour copier qui que ce soit. Non. Dans les années 1990, ça se faisait comme ça, c’est ce qu’il nous plaît et c’est ce qui nous a marqué au collège/lycée.

Un dernier mot ?

On a énormément de chance de tout ce qui nous arrive. On a grandement envie de dire merci à toute l’équipe qui nous entoure, Sony Jive Epic, K Productions, Replica et Roger, merci aussi à toutes les personnes qui ont acheté l’album, aussi bien sur les plates-formes qu’en physique ! Et merci pour tous vos retours positifs !

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Toto : Nouveau morceau dévoilé

Toto va sortir une compilation de ses meilleurs morceaux, intitulée « 40 Trips Around The Sun », le 09 février prochain via Sony. Il fêtera, ainsi, les 40 ans de carrière du groupe.

Le groupe vient de dévoiler le nouveau titre « Alone », qui s’écoute ci-dessous :

Tracklist :

01 – Alone (Inédit)
02 – Spanish Sea (Inédit)
03 – I’ll Supply The Love
04 – I’ll Be Over You
05 – Stranger In Town
06 – 99
07 – Stuck By Lightning (Inédit)
08 – Pamela
09 – Afraid Of Love
10 – I Won’t Hold You Back
11 – Jake To The Bone
12 – Stop Loving You
13 – Lea
14 – Hold The Line
15 – George Porgy
16 – Rosanna
17 – Africa

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Evanescence : Nouveau clip vidéo

« Synthesis », le nouvel album des Evanescence, sortira le 10 novembre prochain via Sony. Le groupe vient d’en dévoiler un nouveau clip, intitulé « Imperfection » :

L’album contiendra des anciens morceaux des américains réarrangés. Il ne contiendra que deux chansons inédites, dont « Imperfection », ci-dessus.

« Bring Me To Life » :

Notons que Evanescence sera en concert le 28 mars prochain au Grand Rex de Paris.

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[CHRONIQUE] Amon Amarth – Jomsviking

Amon Amarth a toujours été un groupe très régulier au niveau de ses publications, avec un album tous les deux-trois ans. Pourtant, cette fois-ci, les suédois se sont rendus la tâche un peu plus difficile puisqu’ils ont souhaité sortir un concept-album, contant l’histoire d’un homme qui souhaite intégrer les « jomsvikings », une célèbre troupe de mercenaires du nord. Alors, le pari est-il réussi ?

On reproche beaucoup à Amon Amarth de se reposer sur ses acquis et de ne pas prendre de risques dans sa carrière, par des albums qui, selon certaines personnes, se ressemblent beaucoup trop. En débutant les phases d’écriture de « Jomsviking » en ayant en tête la réalisation d’un concept album, c’est toute une organisation, toute une structure, qu’il a fallu remettre en question : il faut suivre une histoire, s’adapter à un scénario sur lequel le groupe a apparemment passé beaucoup de temps dessus, afin de la structure musicale suive celle du texte.

Une chose réussie par Amon Amarth qui va en profiter pour amener plus de choses dans ses morceaux : que ce soit au niveau des guitares de Olavi Mikkonen et de Johan Söderberg (mieux mixée, plus mise en avant) , de la voix de Johan Hegg (qui semble la moduler comme bon lui semble), l’addition d’une voix féminine, en la personne de Doro Pesch sur « A Dream That Cannot Be » …

L’histoire est compréhensible, bien menée. Les morceaux sont liés musicalement parfois par des passages parlés (et certaine fois la voix de Johan sonne très Till Lindemann (Rammstein). On ressent le travail derrière, c’est réfléchi et l’album est du coup cohérent.

Et la musique est toujours aussi brute de décoffrage : si de rares morceaux restent malheureusement oubliables (notamment « At Dawn’s First Light », titre complètement linéaire dans sa structure musicale), on retrouve sur d’autres le vieux Amon Amarth via des titres taillés pour le live, qui vous reste bien enfoncé dans le crâne (« Raise Your Horns » en tête). D’autres titres interpellent par leur violence, comme « On A Sea Of Blood » et « Vengeance Is My Name », qui satisferont les amateurs de gros son.

Bref, c’est un album qui amorce une certaine évolution chez Amon Amarth, sans que le groupe n’en vienne à renier ses origines. Un pur plaisir pour les nouveaux fans comme pour les anciens qui déploraient un manque de renouvellement. C’est chose faite avec ce « Jomsviking ». Tous les morceaux ont quelque chose de différent, et l’album se dévore tel un bon livre.

9.5/10

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Retrouvez notre interview de Johan Söderberg ici.

[INTERVIEW] Johan Söderberg (guitare) – Amon Amarth

Amon Amarth a sorti hier son nouvel album « Jomsviking ». A cette occasion, Metal-Actus a pu s’entretenir avec Johan Söderberg, l’un des deux guitaristes du groupe, pour évoquer cet album qui se révèle un peu différent du reste de leur discographie.

Metal-Actus : Quel est ton ressenti par rapport à ce nouvel album de Amon Amarth, « Jomsviking » ?

Johan Söderberg (guitare):
J’en suis très heureux. En interview, on entend toujours que le nouvel album est le meilleur d’un groupe … jusqu’au suivant (rires). Là, pour nous, c’est probablement le cas.

Peut-tu nous expliquer le terme « Jomsviking » ?

« Jomsviking » est un groupe armé composé de mercenaires vikings. Tout ceux qui veulent en faire partie doivent passer des tests, comme des assassinats. Ils étaient engagés par différents rois pour s’occuper d’affaires nébuleuses. L’histoire est centré sur un mec, qui veut rejoindre ce groupe.

C’est donc un concept album sur le voyage initiatique de votre personnage principal ?

Oui. Après « Deceiver Of The Gods » (NDLR : sorti en 2013), on était parti sur l’idée d’un concept-album, mais on avait besoin d’un fil rouge, d’une histoire à raconter. On l’a écrit à la manière d’un script de film, ce qui est pour nous une manière tout à fait différente de travailler. Johan a passé quelques temps dessus, puis on a composé en suivant ce qu’il avait écrit.

Vous avez eu des difficultés du coup, avec cette méthode différente de vos habitudes ?

On pensait qu’on en aurait au début. Notre façon de composer allait être différente car nous devions suivre l’histoire. Mais au final, c’était plus facile que prévu, nous avions déjà quelques idées basiques de morceaux avant la composition de l’album, que nous avons pu adapter aux paroles. Pourtant, on pensait qu’on allait se retrouver avec 25 titres, tellement l’histoire nous semblait longue !! (rires).

Donc les différents passages parlés par Johan sont indispensables à l’histoire ?

Oui, c’est pour faire une sorte de lien entre les différents morceaux, assurer la continuité de l’histoire.

Pour le morceau « A Dream That Cannot Be », vous avez décidé de faire appel à Doro Pesch. Pourquoi ce choix, et pourquoi avoir décidé d’intégrer une voix féminine ?

Dans ce morceau, notre héros va utiliser l’amour de sa vie pour sa quête, et donc perdre sa bien-aimée. On pensait qu’il serait judicieux de faire appel à une voix féminine, afin de créer une sorte d’interaction avec notre personnage. Mais on ne voulait pas n’importe quelle chanteuse : il nous fallait une personne qui puisse s’opposer à Johan, s’adapter à la brutalité de notre musique. Et a pensé immédiatement à Doro Pesch . Quand on l’a contacté, elle s’est montré très enthousiaste et à accepté tout de suite de collaborer avec nous. Et on est contents car elle apporte quelque chose de nouveau, un son inédit à notre musique. C’est ce qu’on essaie de faire, sur chacun de nos albums.

Avez vous fait appel à la même équipe pour enregistrer cet album ?

Oui, nous avons fait appel une nouvelle fois à Andy Sneap pour l’enregistrement et la production de cet album. La même fine équipe du studio, qui nous suit depuis plusieurs disques maintenant, s’y est enfermée avec nous pendant 6 semaines. Bien entendu, on avait tout écrit avant (rires).

Vous vous êtes séparé de Fredrik Andersson . Qui l’a remplacé en tant que batteur sur ce nouvel opus ?

On s’est séparé de Fredrik avant la composition de ce nouvel album. On voulait avoir un batteur à nos côtés bien sûr, qui puisse nous comprendre et s’impliquer dans cette galette. C’est pourquoi nous avons fait appel à un vieil ami, Tobias Gustafsson. On le connaît très ben et on était content de l’impliquer dans la composition. Il avait une attitude très positive.

Et il ne vous accompagnera pas durant la tournée ?

Non, car il a seulement été engagé pour travailler sur notre album. Bien sûr, s’il avait pu nous accompagner, on aurait été super contents !Mais cela n’a pas marché, pour certaines raisons … On est donc à la recherche d’un nouveau batteur qui pourrait devenir, on l’espère, un membre permanent de notre groupe. Avec la tournée qui arrive, cela va prendre un peu de temps, puisqu’il faut qu’on se sente bien les uns avec les autres. (NDLR : Jocke Wallgren du groupe October Tide, occupera le poste durant la tournée européenne d’Amon Amarth)


Vous avez prévu des apparitions à plusieurs grands festivals européens cet été. Ces festivals, y être, c’est important pour vous ?

Cela nous apporte un public plus sauvage, et quelques nouveaux fans dans le tas (rires). Et puis ce sont en général des grosses productions, donc on peut jouer sur une scène plus grande, y mettre toute la pyrotechnie qu’on veut (rires). On aura bien sûr le drakkar ! Ce sera épique pour sûr ! Au niveau de la tournée elle-même, je peux déjà confirmer qu’on tournera pendant deux ans pour « Jomsviking ».

Amon Amarth est né en 1992, et toi tu es dans le groupe depuis 1998. Peux-tu nous raconter une anecdote, qui t’a peut-être surpris, déçu .. ?

Je pense que le moment le plus bizarre est quand tu rencontres les musiciens qui étaient tes héros quand tu étais gosse, et que tu te rends compte que ce sont juste des mecs normaux (rires). Tu sais, ces gens que tu admirais tellement que tu les considérais comme des dieux ! (rires) Alors que quand tu partages la même scène avec eux, tu prends conscience qu’ils font la même chose que toi.

Un dernier mot ?

J’espère que vous aimerez notre album, et qu’on vous verra une nouvelle fois en concert ! A bientôt !

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Amon Amarth : Nouveau clip !

C’est le 25 mars prochain que sortira le prochain CD d’Amon Amarth, nommé « Jomsviking » (via Sony/Metal Blade Records). Le groupe vient de diffuser un premier clip vidéo pour le titre « At Dawn’s First Light ».

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Tracklist :

01 – First Kill
02 – Wanderer
03 – On A Sea Of Blood
04 – One Against All
05 – Raise Your Horns
06 – The Way Of Vikings
07 – At Dawn’s First Light
08 – One Thousand Burning Arrows
09 – Vengeance Is My Name (Bonus track)
10 – A Dream That Cannot Be (feat. Doro Pesch)
11 – Back On Northern Shores