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After Taste balance un nouveau single !

« Eye On The Prize » est donc le titre de ce nouveau single signé After Taste ! C’est un extrait de l’album « How To Fake Love », qui arrive demain dans les bacs en autoproduction !

Tracklist :

01 – Bleeding Dry
02 – Neutered
03 – Follow Me
04 – Seeder
05 – Siren
06 – Fake Love
07 – Warm Bodies
08 – Eye On The Prize
09 – Candlelight
10 – Free

In Flames annonce son nouvel album studio !

« Foregone » est donc le titre de ce prochain opus studio des In Flames ! Il sortira le 10 février 2023 via Nuclear Blast Records !

Le groupe vient d’en dévoiler un premier single, « Foregone Pt. 1 », qui s’écoute juste en-dessous :

Tracklist :

1. The Beginning Of All Things That Will End
2. State Of Slow Decay
3. Meet Your Maker
4. Bleeding Out
5. Foregone Pt. 1
6. Foregone Pt. 2
7. Pure Light Of Mind
8. The Great Deceiver
9. In The Dark
10. A Dialogue in b Flat Minor
11. Cynosure
12. End The Transmission

[INTERVIEW] Xavier (Malemort) : « Nous étions donc très confiants dans nos titres»

On peut dire qu’on l’aura attendu de pied ferme celui-là ! Les Malemort reviennent enfin en cette rentrée avec une nouvelle galette, « Château-Chimères », autour du Château d’Hérouville dans l’Oise. Xavier a accepté notre interview pour nous en dire plus sur cet album très particulier.

Metal-Actus : Salut Xavier, et merci pour le temps que tu nous accordes ! As-tu eu déjà des premiers retours sur « Château-Chimères », le nouvel album de Malemort ?

Xavier (chant) : Oui, on a déjà pu prendre la température durant notre journée promotionnelle de vendredi. Et au vu de tous les retours qu’on a eu, je suis heureux de voir que nous sommes sur une très bonne lancée. Ce qui est inédit, c’est qu’on a organisé une prévente importante avant la sortie officielle de l’album, durant laquelle on s’est engagé à ce que tout le monde reçoive son disque avant la date butoire . Et on a eu pleins de messages à la suite de nos envois, adorables, nous complimentant sur l’opus. En faisant cela, on ne s’est jamais autant senti aussi proche de notre public. Côté presse, on ne reçoit que des louanges, et Rock Hard en a fait son album du mois!

Une prévente qui s’est d’ailleurs effectuée via le site KissKissBankBank, ce qui est assez original en soit !

On voulait avec KissKissBankBank, par un moyen détourné, toucher notre public avec des préventes à l’ancienne. Bien évidemment, cela nous a permis aussi d’obtenir un apport de fond qui nous servira pour la suite des événements …. Mais le fait de demander spécifiquement à nos fans de l’aide pour financer notre album m’aurait, à titre personnel, mis mal à l’aise.

Vous êtes un groupe qui monte en puissance, et ce, depuis vos débuts. Il y avait énormément d’attente sur « Château-Chimères », d’autant plus qu’il a mis un certain temps à arriver avec tout le contexte créé par la pandémie. Ressentiez-vous une certaine pression, de devoir vous montrer à la hauteur, et plus particulièrement, de « Ball Trap » qui avait remporté un gros succès ?

Au moment de la sortie de « Ball Trap », nous avions déjà composé certains des morceaux de « Château-Chimères », que nous jouions en live, ce qui nous permettait de voir les qualités et les défauts de chacun d’entre eux et d’ajuster en fonction. Nous étions donc très confiants dans nos titres, on savait ce qu’on avait envie d’ajouter, si on voulait aller plus loin. Non, nos craintes concernaient surtout sa réception, car, comme tu l’as toi-même souligné, il allait être très compliqué de passer derrière « Ball Trap ». Est-ce que notre public allait accepter quelque chose de nouveau ? On a été rassuré de ce côté-là.

Tu dis dans le « Grimoire » donné à la presse que c’est la consécration d’un vieux rêve pour toi. Tu peux m’expliquer quelles en sont les origines, les racines ?

J’ai emménagé à trois kilomètres de ce château il y a plus de dix ans. Il était alors encore abandonné. Et j’ai entendu des histoires dans mon villages, de la part de personnes âgées, que je ne croyais pas jusqu’à ce que je fasse mes recherches. Et j’ai été d’emblée fasciné…. Ce château représentait la pointe de la révolution musicale de la folie des années 1970 ! C’est devenu une source d’inspiration pour moi…J’ai alors commencé à regrouper des informations – parcellaires du coup – sur ce château. Je voulais en faire notre deuxième album mais je ne nous sentais pas encore mûrs pour ça. Donc on a décidé de sortir plutôt « Ball Trap ». La fin de la dernière tournée avait été compliqué pour moi – et donc je me suis remis à ce projet.

Du coup je suppose que vous n’avez pas rencontré des gens en relation avec le château (d’anciens propriétaires par exemple) dans le cadre de l’élaboration de la galette ?

On a tenu à rester à une certaine distance pour éviter l’effet manuel d’histoire. On voulait créer du neuf sur une vibration présente.

Comment réussir à tisser, construire quelque chose musicalement autour de ce château ?

Il était évident qu’on ne pouvait pas construire une grosse histoire, on a alors choisi douze instantanés, représentés par chacune des chansons, pour pouvoir coller au mieux à la légende du château. Mais cela permet aussi de donner plusieurs sens et une libre interprétation du morceau, et c’est quelque chose que j’essaie de faire dans l’écriture de mes paroles. L’un de nos musiciens a, par exemple, cru que l’un des morceaux de « Château-Chimères » parlait de sa vie personnelle ! Au niveau de la musique, j’écris en général le point de départ de chaque morceau avant de le balancer à Sébastien Berne, notre claviériste et notre guitariste, et je lui laisse carte blanche. La seule chose sur laquelle on était raccord dès le départ était qu’il fallait absolument éviter un son seventies, que ça reste toujours estampillé Malemort par l’ambiance, le son et l’énergie.

« L’Eau Des Fossés » est consacré à Elton John, notamment par des sonorités sorties de ses morceaux ! Que peux-tu me dire sur l’histoire que tu as choisi de raconter ?

Cette chanson porte sur l’amitié entre Elton John et son parolier, Bernie Taupin: le premier va profiter de la vie jusqu’à la folie, quitte à se démolir, alors que le second, plus calme et réservé, fuit cette vie de paillettes. Il va pourtant se montrer présent pour lui aux heures les plus sombres de sa carrière. C’est une chanson mi-figue, mi-raisin, douce amère.

Est-ce que l’incendie du château était un instantané qu’il fallait absolument traiter, dans « Pyromane Blues » donc ?

Tout à fait ! Cet incendie, c’est, pour moi, l’allégorie de ce qui peut arriver de pire à un musicien. Michel Magne, à l’époque propriétaire du château, a perdu des centaines de partitions, de matériel …. des heures de travails envolées, parties en fumée ! Cela finira d’ailleurs par le détruire. De plus, c’était, selon moi, le signe avant-coureur de la chute de ce château !

Et justement, maintenant que ce château a été restauré (aujourd’hui, c’est de nouveau un studio d’enregistrement), penses-tu qu’il peut, de nouveau, revêtir sa gloire d’antan ?

Je lui souhaite de tout mon coeur, mais je suis de ceux qui croient que le destin ne passe pas au même endroit deux fois. Les temps ont changé, et aujourd’hui, l’individualisme est tel que personne ne se voit enfermé en résidence pendant deux mois pour faire un album. De plus, les labels sont actuellement en manque d’argent et ne peuvent financer ce genre de choses…

Concernant « Quelle Sorte D’Homme », on pourrait penser que ce morceau a été créé pour faire la jonction entre « Ball Trap » et « Château-Chimères ». Est-ce le cas ?

On ne l’a pas pensé comme ça, même si on nous l’a déjà dit. On ne voulait pas mettre en place une continuité entre nos deux albums. Effectivement, je vois pourquoi beaucoup pensent que c’est un morceau « pont » avec notre précédent opus – il a des riffs lourds et un refrain marquant et sautillant. On a cependant différents sons de guitares, plus présentes dans la vélocité. Sébastien est d’ailleurs très fort pour écrire des solos qui vont venir servir le propos du morceau, et non mettre en avant le guitariste.

Comment s’est faîte la collaboration avec Dan Ar Braz ? Car je crois savoir qu’au départ, vous vous êtes juste rencontrés pour parler du Château !

De base, il était hors de question de mettre des collaborations dans l’album, car le lien que j’ai avec celui-ci est trop personnel. Même dans notre entourage je ne voulais aucun featuring. On a rencontré Dan Ar Braz, que certains d’entre nous ne connaissaient pas, pour lui acheter du matériel. Et en discutant un peu, on s’est penché sur la carrière du bonhomme : et il nous a dit qu’il a enregistré 7 de ses albums au Château ! On s’est rappelé pour échanger à ce sujet, et il est devenu une source inattendue d’informations pour nous ! Le hasard fait bien les choses ! On s’est donc rapidement lié d’amitié. Et un matin, je me suis réveillé avec le refrain de « Je M’En Irai » dans la tête. Je l’ai maquété et soumise à Seb qui voulait qu’on l’enregistre immédiatement. Et Dan voulait également l’écouter. C’est alors que je me suis dit, pourquoi pas lui demander de participer au morceau ? Cela paraissait logique et cela laisserait une vraie trace reliant notre album à l’histoire du château !

Concernant les concerts, est-ce que certaines choses se préparent ? Pensez-vous pouvoir organiser un concert-concept avec des décors et des projections, durant lequel « Château-Chimères » serait entièrement joué ?

On va démarrer les lives en 2023, probablement à la fin de l’hiver, voir le début du printemps prochain. On veut laisser le temps à l’album de se faire une place. En plus, avec la pandémie et les nombreux reports de concerts, c’est un peu le bazar dans les salles, on va donc laisser passer un peu de temps. Concernant le concert-concept comme tu dis, on y pense très fort et on a beaucoup de monde qui le demande. On verra en temps voulu.

Un dernier mot ?

Un grand merci à ceux qui nous ont attendus longtemps pour l’arrivée de ce disque, mais aussi pour l’incroyable accueil que vous lui réservez!

[LIVE-REPORT] Motocultor Jour 3

Ce samedi verra le grand retour du beau temps, après une nuit glaciale et pluvieuse (peut-être même un peu trop chaud diront certains). Le jour et la nuit avec la veille !

Et on commencera à une seule photographe (le second étant cloué dans la tente par une énorme fièvre) avec The Dali Thundering Concept ! Arrivés sur le tard (car annoncés au dernier moment) par l’organisation du festival, le groupe fera mouche auprès d’un public totalement conquis mais surtout énergique (et à une heure aussi matinale, il faut le souligner). Un bon set avec des gars talentueux, impliqués, provoquant une énorme onde de puissance sur scène : il va falloir les suivre de très près !

Trop d’autodérision tue-t-elle l’autodérision ? Contrairement à beaucoup d’autres, je n’ai absolument pas été emballé par le set des Tranzat ! Arrivés avec leurs flambants polos rose pâle, j’ai trouvé le set mou, les musiciens comme absents (à l’exception du guitariste Benjamin Arbellot vraiment à fond dans le concert mais aussi dans le concept) et la musique, pas exceptionnelle ni même très originale. Et vu toutes les critiques dithyrambiques concernant leur concert, j’ai dû effectivement rater quelque chose. Mais la prestation m’est complètement passé au travers.

J’en profite pour filer sur la Suppositor Stage afin de découvrir Ten56, nouveau groupe de l’ancien leader des Betraying The Martyrs, (que je shooterai de loin, étant donné que je suis arrivée bien tard dans la fosse)….. Et si le son les a franchement desservi, la formation a également manqué un poil de présence sur scène pour faire de leur show quelque chose d’inoubliable.

Je dois avoir un problème avec l’humour ce matin là puisque c’est au tour de la prestation des Princesses Leya de me passer au travers. Mais ce n’est pas parce que leur show était mauvais ! N’appréciant guère les humoristes de Navarre et d’ailleurs y compris hors Motocultor, j’ai retrouvé tout ce que je n’aimais pas dans ce genre de spectacle : trop chorégraphié, trop scénarisé, laissant peu de place à l’improvisation, et finalement… à la musique ! Bref, ce n’est juste pas pour moi. Mais j’ai pris un grand plaisir à photographier la petite bande de Dedo, particulièrement beaux devant l’objectif !

C’est par curiosité que je me rend au concert des Schammasch, groupe avant-gardiste de black metal suisse ! Et j’ai fortement apprécié leur show, qui a su parler aux fans du genre, malgré que l’heure de passage, en pleine après-midi, ait desservi un tantinet le spectacle. A découvrir et à voir sur scène (mais dans l’obscurité, ce sera encore mieux!)

Les Lost Society ne sont pas à leur première apparition au Motocultor : d’ailleurs, le chanteur guitariste Samy Elbanna déclarera qu’il se souvient encore du goût de la poussière de la dernière fois ! Il invitera le public a être encore plus fou, plus sauvage. Et il faut dire qu’il va être servi !

Une musique énergique, de la puissance, le tout servi par un excellent son pour changer, et un public en furie. Elbanna en est même monté sur un des pylones soutenant la tente de la Dave Mustage, arrangant encore plus une foule déjà en délire. C’était peut-être le concert le plus fou et le plus violent auquel j’ai assisté dans toute ma petite vie, et l’un des deux meilleurs du festival!

Je cours ensuite voir mes chouchous, Benighted ! Et je vais être servi par un groupe des plus énergiques, avec un set remplis de titres énormes qui vont juste nous mettre une fessée mes enfants ! (oui oui, objectivité zéro, je sais) Et le public, en tout cas au premier rang, était dans une telle transe qu’ils ne voyaient plus nos objectifs braqués sur eux. Une superbe alchimie entre les fans et la formation !

Regarde Les Hommes Tomber sous la Massey Ferguscène attirera tout autant de monde (même plus encore). Le groupe brillera par un show pointilleux et leur très bonne énergie. Une belle découverte de mon côté !

Tesseract aura fait un show extrêmement propre qui aura ravi les fans de la première heure, venus en nombre les acclamer (et ce malgré l’absence d’un lightshow digne de ce nom). Le groupe se montrera pourtant assez poseurs, limite prétentieux, ce qui jettera un froid dans le pit photo au moins. Belle présence de Daniel Tompkins, vraie pile électrique qui arpentera tout l’espace à sa disposition jusqu’à aller faire un tour dans la fosse !

Pendant ce temps, sur la Bruce Dickinscène arrive un des nombreux ovnis accueilli par ce festival : H09909. Composé d’un duo d’américains à la mode Beetlejuice (avec un grand Choixpeau vissé sur le crâne) et GI Joe, et d’un batteur (qui parfois se demande ce qu’il fabrique sur scène), ils seront une belle surprise pour beaucoup de festivaliers avec un électro rap metal jouissif et dévastateur, qui vient tutoyer les grands pontes du genre. Une vraie expérience sur scène, à ne manquer sous aucun prétexte !

God Is An Astronaut aura été une nouvelle belle surprise de ce samedi ! Déjà bien connu sur album studio, je me demandais ce que ça allait donner sur scène, avec une petite dose d’appréhension ! Et je n’ai pas été déçu avec un show à la fois millimétré mais laissant place à une certaine spontanéité et une certaine fraîcheur. Mais aussi un groupe heureux d’être présent, à partager sa musique ave son public. A ne pas louper si vous les voyez passer !

Vader se sera fait plaisir sur scène, au vu des mines réjouies de l’ensemble du groupe ! Encore une fois un show techniquement sans faille avec une belle chaleur qui fait du bien aux cages à miel !

Alcest aura été en petite forme : quelques petits ratés durant surtout le début de set, et un beau caffouillage sur « Sapphire ». Le groupe ne tardera pas à se ressaisir et offrira un show enchanteur et féérique à son public, même s’il manquait ce petit truc magique qui fait que ce soit inoubliable.

Une petite foule seulement se sera amassée autour de la Bruce Dickinscène pour voir le show à la fois furieux et déjanté des Sick Of It All ! Si les new-yorkais auront fait le taf et bien plus encore (on sent qu’ils se seront fait particulièrement plaisir sur ce set), il manquait peut-être un petit grain de folie qui aurait fait de ce concert quelque chose d’inoubliable !

Perturbator aura aussi fait le boulot avec un spectacle à couper le souffle ! Servi par un bon jeu de lumière, la partie musicale n’aura pourtant pas été à la hauteur avec un son, de nouveau, trop fort en basse. Dommage car l’expérience offerte par le duo est juste immanquable, surtout à cette heure avancée de la nuit.

Enfin, les Apocalyptica déboulent en clôture de la Dave Mustage, eux-même surpris par la grande foule qui les attendait à cette heure tardive (il était une heure du matin). Bon show des finlandais qui manquait cependant d’énergie et, surtout, de cohérence (aucune mise en avant du nouvel EP du groupe, « Metal Classic, Classic Metal », et peu de morceaux issus du dernier album en date « Cell-0 »). De plus, la présence d’un chanteur m’aura fortement déçu (le même que sur la tournée de 2010 de mémoire), ce dernier ne se montrant pas à la hauteur des invités de prestige du groupe à mon sens.

Ce samedi aura donc vu son lot de bonnes découvertes, mais les groupes attendus nous auront particulièrement déçus sur cette journée. Un samedi agréable et chaud pour arpenter les allées du Motocultor. On décidera une nouvelle fois de faire l’impasse sur la tente du Macumba et de reprendre des forces pour la nouvelle très grosse journée qui se profile le lendemain.

Alter Bridge : Nouveau clip disponible !

« Sin After Sin » est donc le titre de cette vidéo signée Alter Bridge ! C’est un extrait du nouvel album du groupe, « Pawns & Kings », prévu pour le 14 octobre prochain via Napalm Records.

Tracklist :

01. This Is War
02. Dead Among The Living
03. Silver Tongue
04. Sin After Sin
05. Stay
06. Holiday
07. Fable Of The Silent Son
08. Season Of Promise
09. Last Man Standing
10. Pawns & Kings

« Silver Tongue » :

« Pawns & Kings » :

Artwork :

Wednesday 13 : Nouveau clip dispo !

« Insides Out » est donc le titre de ce tout nouveau clip signé Wednesday 13 ! C’est un extrait de l’album « Horrifier », prévu pour le 7 octobre prochain via Napalm Records.

Tracklist :

01. Severed
02. Insides Out
03. Exhume and Devour
04. You’re So Hideous
05. Good Day to Be a Bad Guy
06. Return to Haddonfield
07. Horrifier
08. Hell Is Coming
09. Halfway to the Grave
10. Christine: Fury in the Night
11. The Other Side

 » You’re So Hideous  » :

Warkings : « Morgana », leur nouvel album !

C’est ce 11 novembre que sortira le nouvel album des Warkings, intitulé « Morgana » (via Napalm Records). Le groupe en a profité pour dévoiler un premier clip, « Monsters », via le clip officiel juste en-dessous :

Tracklist :

1. Hellfire feat. Morgana le Fay
2. To the King
3. Monsters feat. Morgana le Fay
4. Last of the English
5. Heart of Rage feat. Morgana le Fay
6. Row (Into the Storm)
7. Immortal feat. Morgana le Fay
8. Shame
9. The Rite
10. Legend Untold
11. Armata Strigoi (Powerwolf Cover) – Bonus Track
12. Cry Thunder – Bonus Track

Par ailleurs, le groupe sera en concert avec Powerwolf et Dragonforce le 27 novembre prochain au Zénith de Paris.