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Dying Fetus : Nouveau clip vidéo

« Fixated On Devastation » est le titre de cette nouvelle vidéo des Dying Fetus. Le morceau est issu du prochain album du groupe, intitulé « Wrong One To Fuck With » prévu pour le 23 juin prochain via Relapse Records.

Tracklist :

01 – Fixated On Devastation
02 – Panic Amongst The Herd
03 – Die With Integrity
04 – Reveling In The Abyss
05 – Seething With Disdain
06 – Ideological Subjugation
07 – Weaken The Structure
08 – Fallacy
09 – Unmitigated Detestation
10 – Wrong One To Fuck With

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Solstafir dévoile le morceau « Silfur-Refur »

« Berdreyminn », le sixième album des Solstafir, sort le 26 mai prochain via Season Of Mist.

Le groupe vient d’en dévoiler un nouvel extrait, le titre « Silfur-Refur », qui s’écoute ci-dessous.

Tracklist :

01 – Silfur-Refur
02 – Isafold
03 – Hula
04 – Naros
05 – Hvit Saeng
06 – Dyrafjördur
07 – Ambatt
08 – Blafjall

« Blafjall » :

« Isafold » :

Artwork :

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[INTERVIEW] Uneven Structure : « On part un peu dans tous les sens mais en gardant un fil rouge »

Six ans après la sortie de « Februus », Uneven Structure met fin aux attentes de nombreux fans avec la sortie de « La Partition » prévue pour ce 21 avril. Un album qui tranche avec le précédent par son côté plus éclectique. Igor, guitariste du groupe, a accepté de nous en toucher quelques mots.

Metal-Actus : Votre nouvel album se nomme « La Partition ». Alors j’ai une question un peu bête mais … pourquoi avoir choisi un titre en français alors que tous vos morceaux sont en anglais ?

Igor (guitare) : Parce que « Music Shit » en anglais, ça ne sonne pas super bien (rires). Le terme en soi est celui qu’on voulait pour l’album, et il est tout simplement mieux à dire en français.

Et ce titre réfère au concept de l’album ?

Oui. L’album parle d’un roi qui demande à un marin de rapporter la partition de leur chant, pour qu’elle puisse prospérer à nouveau.

Et comment avez-vous réussi à créer cet univers ? Quelque chose de cohérent avec un début et une fin ?

On a commencé avec notre premier EP en 2009, où on esquissait un univers à la base assez abstrait. On a commencé à l’enrichir, au fil des albums. On s’en sert pour faire passer nos idées, de faire un peu ce qu’on veut pour parler de ce qu’il faut parler.

Quelles sont vos principales sources d’inspiration, en tout cas pour cet album ?

Au fur et à mesure, on a défini notre propre style, de trouver ce qui nous intéressait musicalement. Honnêtement, au bout de dix ans, on n’a plus vraiment d’inspiration directe, que ce soit musique de film ou événement… C’est plus du ressenti ! On puise déjà dans tout ce qu’on connaît, ce qu’on a expérimenté musicalement, pour construire quelque chose. On pratique l’écriture automatique, on laisse les idées couler, et on se retrouve avec la musique qu’on fait maintenant.

Quels sont ces différents styles de musique ?

Metal, Metal prog, post-Metal, post-harcore, indus, du rock, du stoner, pas mal de grunge notamment pour notre chanteur, de l’électro, de l’ambiant … suite à la sortie de notre précédent album « Februus », on s’est retrouvé face à un mur. On n’avait plus grand chose à dire ! On a perdu du temps pendant deux ans : on a erré sans vraiment trouver de direction. Et puis on a commencé à se reconstruire une identité, à savoir où aller. On a eu de nouveau les outils en main pour passer nos émotions, notre énergie. On s’est mis de nouveau en avant, de la manière la plus juste.

C’est-à-dire ?

C’est désormais sans filtre ! Sur le précédent album, on était assez cloisonnés dans un genre, dans une direction, dans une musicalité. On s’est retrouvé beaucoup plus libres, on a maintenant des accents plus rock, plus pop, parfois plus black metal … On part un peu dans tous les sens mais en gardant un fil rouge.

A cet univers musical, vous avez intégré un véritable univers visuel. Le groupe en est l’auteur ?

C’est Thomas, le frère de notre chanteur Mathieu, et moi-même, qui avons bossé sur tout cet univers visuel, notamment sur cet artwork : lui a fait tout le côté un peu plus dessiné, moi celui orienté vidéo et effets spéciaux. On a continué ce qu’on avait commencé avec « Februus » sur le côté visuel, en gardant les mêmes personnages, en intégrant des nouveaux, en gardant les codes de l’univers tout en les enrichissant.

Votre premier single est « Incubus ». Pourquoi ce choix ?

C’est le morceau qui lit le précédent album à celui-là.

Ce n’est donc pas le premier titre qui remplit ce rôle …

On aurait pu. Mais l’album se déroule de façon linéaire : c’est juste trois actes où on va parler d’éléments différents de l’histoire, et du coup on peut se permettre de sortir les morceaux dans l’ordre dans lequel on veut, par triptyque.

Des clips sont-ils en prévision ?

Ouais. L’idée est d’avoir un clip par morceau, histoire qu’ils se suivent pour faire un moyen-métrage d’une heure.

Vous avez commencé à tourner quelques scènes ?

Là on a quatre des neuf clips qui sont déjà tournés, ils sont en post-production. C’est long car c’est là où tout se joue. L’idée est d’avoir la sortie d’un clip tous les deux mois et demi.

C’est soutenu !

C’est tendu ouais : on va voir si on arrive à gérer ça.

Parlons concert maintenant ! Contents de revenir sur les routes ?

Carrément ! Surtout après cinq ans passés enfermé dans un studio (rires). Le fait de pouvoir sortir, de partager notre musique sur scène, d’avoir cette énergie à partager avec les gens, c’est tout ce qu’on attendait ! Cet album a été vraiment pensé avec le live, vu qu’on n’a pas vraiment joué le précédent sur scène car les conditions ne s’y prêtaient pas vraiment.

Vous allez jouer avec Textures. Comment ça s’est organisé ?

C’est un groupe avec lequel on a souvent tourné depuis 2012. On s’entend bien, on est des bons compagnons de route, donc à chaque fois qu’ils passent en France, on se débrouille pour être dans les parages. C’est un plaisir partagé d’être sur scène avec eux.

J’ai vu que vous avez signé chez LongBranch Records. Vous avez quitté Basik du coup ?

Oui car on cherchait plus d’appuis. Basik nous ont donné tout ce qu’ils ont pu nous donner. Et ils sont à fond, ils nous ont même attendu pour cet album ! On l’aurait sorti chez eux avec plaisir mais on voulait vraiment progresser, sortir de cette scène Metal Technique, de cette étiquette qu’on avait, et pour nous, c’était important, voire nécessaire, de changer de voie, de partir sur un opus plus éclectique, avec une image différente. Et vu qu’il est plus gros, on espère avoir plus d’opportunités.

Vous aurez dix ans l’année prochaine. Est-ce que vous pensiez être encore là aujourd’hui ?

On pensait plutôt présenter notre quatrième album, au lieu de notre deuxième (rires). On a été super longs. Donc on est contents d’être encore là en ayant sorti peu de trucs. Je ne pense pas qu’il y ait énormément de groupes où le line-up a autant bougé : on n’avait pas des personnes qui étaient autant à fond, créatives. Certains étaient uniquement là pour la scène, pour un autre, c’était un cas un peu particulier. On est contents tout de même d’avoir trouvé des gens qui nous poussent, en tant que groupe, encore plus loin.

Donc que peut-on vous souhaiter pour l’avenir ?

De sortir deux nouveaux albums en quatre ans, ce serait déjà pas mal ! (rires)

Tu as quelque chose à rajouter ?

Salut Maman! (rires). Merci à tous pour votre soutien !

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[INTERVIEW] The Raven Age – Darkness Will Rise

The Raven Age, groupe du fiston de Steve Harris (Iron Maiden) George, nousleur premier opus, « Darkness Will Rise ». Nous avons pu interroger George, qui nous a présenté ce projet fondé avec Dan Wright, également guitariste du groupe.

Metal-Actus : A quoi fait référence le titre de votre nouvel opus « Darkness Will Rise » ?

George Harris (Guitare):
Cela fait référence à des événements personnels mais aussi des événements historiques ayant en commun la mort ou les ténèbres. Je peux m’inspirer aussi bien de choses tristes qui ont pu m’arriver que des trucs plus publics comme la politique de notre gouvernement. Chaque morceau est en fait un concentré de négativité. Pas des plus joyeux donc ! (rires)

S’agit-il d’un concept-album ?

Non. Mais tu n’es pas la seule à nous le demander. Je pense que cette impression vient de notre style d’écriture et de composition, on aime bien les trucs assez épiques. D’ailleurs, le morceau le plus court de notre album fait 5 minutes, ce qui pose problème pour passer à la radio (rires).

C’est aussi votre premier opus ! Alors satisfait ?

Oui très ! On est assez excité par tout ce qui nous arrive. La signature avec le label, les interviews… Pourtant on ne pensait pas être-là aussi rapidement, puisqu’au départ, on était partis pour le sortir nous-mêmes, par peur de devoir subir des changements par des personnes tierces. On a eu des propositions de maisons de disque qui voulaient qu’on change notre pochette par exemple ! Mais on a eu cette proposition de BMG qui nous a fait réfléchir, et en plus, ils étaient assez impressionnés par notre son et aussi par le fait que tout soit pratiquement terminé. Ils n’ont cherché aucunement à s’immiscer dans le processus. Donc oui, une très bonne première expérience.

Pourquoi avoir remis les titres de votre EP sur l’album ?

On considère cet EP comme un « échantillon » de notre musique : il n’a pas, en plus, bénéficié d’une promo particulière, donc on s’est dit qu’ils auraient une toute nouvelle attention sur cet album. Les trois morceaux s’intégraient en plus parfaitement dans notre tracklisting.

Vous avez tourné plusieurs clips : « Salem’s Fate », « Angle In Disgrace » et « Promised Land » qui contient uniquement des images de votre tournée. Vous êtes un groupe qui donnez beaucoup de concerts. Une façon de remercier votre public ?

Aussi. Mais notre but premier était surtout de nous montrer sur scène, en backstage … bref notre vie en tournée, qui fait partie désormais de notre quotidien ! Tu l’as dit toi-même, on a donné pas mal de concerts, beaucoup aussi avant notre premier album : le live est quelque chose de primordial pour nous, en tant que groupe pour moi, c’est la base. Et on a aussi cherché, en enchaînant les dates, à peaufiner le plus possible notre jeu de scène. On s’est donc rassuré tout en prenant notre pied ! C’est aussi pour cette raison, je pense, que la sortie de cet album intervient un peu plus tard que pour d’autres groupes (NDLR : Naissance en 2009).

Oui d’ailleurs vous avez mis le temps pour recruter vos autres comparses, puisque vous n’étiez au complet qu’en 2013 ! Pourquoi avoir pris ce temps ?

Avec Dan (Wright, autre guitariste et membre fondateur du groupe), on a commencé par composer pendant quelques temps avant de véritablement avoir l’idée du groupe. Certains de ces titres sont d’ailleurs présents sur notre album aujourd’hui !

Que peut-on vous souhaiter pour votre futur ?

Nous venons de terminer une tournée avec Anthrax. Nous espérons donc que l’album se vende bien, pour qu’on puisse faire des concerts en tête d’affiche.

Un dernier mot ?

Achetez notre album, allez à nos concerts et merci de votre soutien !

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Life Of Agony dévoile un nouveau clip

Le cinquième album de Life Of Agony, intitulé « A Place Where There’s No More Pain » sort le 28 avril prochain via Napalm Records.

Le groupe vient de dévoiler le clip vidéo pour le titre « World Gone Mad » :

Tracklist :

01 – Meet My Maker
02 – Right This Wrong
03 – A Place Where There’s No More Pain
04 – Dead Speak Kindly
05 – A New Low
06 – World Gone Mad
07 – Bag Of Bones
08 – Walking Catastrophe
09 – Song For The Abused
10 – Little Spots Of You

« A Place Where There’s No More Pain » :

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