Archives par mot-clé : Metal Blade

Candiria dévoile un nouveau clip vidéo

« The Whole World Will Burn » est le titre de cette nouvelle vidéo du groupe Candiria. Le morceau est issu du dernier album en date du groupe, « While They Were Sleeping », sorti le 7 octobre dernier via Metal Blade Records.



Tracklist :

01 – While They Were Sleeping
02 – Mereya
03 – Wandering Light
04 – The Cause
05 – Forgotten
06 – One Of You Will Betray Me
07 – Opaque
08 – The Whole World Will Burn
09 – Behind These Walls
10 – With Broken Bones
11 – Ten Thousand Tears
12 – Servitude

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Wovenwar : Les détails du prochain opus

« Honor Is Dead » est le titre du nouvel opus du groupe Wovenwar. Sa sortie est prévue pour le 21 octobre via Metal Blade Records.
Un premier extrait pour le titre « Censorship » est disponible via le site internet de Metal-Blade.

Tracklist :

01 – Confession
02 – Censorship
03 – Honor Is Dead
04 – Lines In The Sand
05 – World On Fire
06 – Compass
07 – Stones Thrown
08 – Cascade
09 – Silhouette
10 – Bloodletter
11 – 130

Artwork :

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Whitechapel : Toutes les infos sur « Mark Of The Blade »

« Mark Of The Blade » est le doux nom donné au prochain album de Whitechapel. Son arrivée est prévue pour le 24 juin prochain via Metal Blade. En voici d’ailleurs un premier extrait, le morceau titre « Mark Of The Blade », le tracklist et la pochette.

Tracklist :

01 – The Void
02 – Mark Of The Blade
03 – Elitist Ones
04 – Bring Me Home
05 – Tremors
06 – A Killing Industry
07 – Tormented
08 – Brotherhood
09 – Dwell In The Shadows
10 – Venomous
11 – Decennium

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[CHRONIQUE] Amon Amarth – Jomsviking

Amon Amarth a toujours été un groupe très régulier au niveau de ses publications, avec un album tous les deux-trois ans. Pourtant, cette fois-ci, les suédois se sont rendus la tâche un peu plus difficile puisqu’ils ont souhaité sortir un concept-album, contant l’histoire d’un homme qui souhaite intégrer les « jomsvikings », une célèbre troupe de mercenaires du nord. Alors, le pari est-il réussi ?

On reproche beaucoup à Amon Amarth de se reposer sur ses acquis et de ne pas prendre de risques dans sa carrière, par des albums qui, selon certaines personnes, se ressemblent beaucoup trop. En débutant les phases d’écriture de « Jomsviking » en ayant en tête la réalisation d’un concept album, c’est toute une organisation, toute une structure, qu’il a fallu remettre en question : il faut suivre une histoire, s’adapter à un scénario sur lequel le groupe a apparemment passé beaucoup de temps dessus, afin de la structure musicale suive celle du texte.

Une chose réussie par Amon Amarth qui va en profiter pour amener plus de choses dans ses morceaux : que ce soit au niveau des guitares de Olavi Mikkonen et de Johan Söderberg (mieux mixée, plus mise en avant) , de la voix de Johan Hegg (qui semble la moduler comme bon lui semble), l’addition d’une voix féminine, en la personne de Doro Pesch sur « A Dream That Cannot Be » …

L’histoire est compréhensible, bien menée. Les morceaux sont liés musicalement parfois par des passages parlés (et certaine fois la voix de Johan sonne très Till Lindemann (Rammstein). On ressent le travail derrière, c’est réfléchi et l’album est du coup cohérent.

Et la musique est toujours aussi brute de décoffrage : si de rares morceaux restent malheureusement oubliables (notamment « At Dawn’s First Light », titre complètement linéaire dans sa structure musicale), on retrouve sur d’autres le vieux Amon Amarth via des titres taillés pour le live, qui vous reste bien enfoncé dans le crâne (« Raise Your Horns » en tête). D’autres titres interpellent par leur violence, comme « On A Sea Of Blood » et « Vengeance Is My Name », qui satisferont les amateurs de gros son.

Bref, c’est un album qui amorce une certaine évolution chez Amon Amarth, sans que le groupe n’en vienne à renier ses origines. Un pur plaisir pour les nouveaux fans comme pour les anciens qui déploraient un manque de renouvellement. C’est chose faite avec ce « Jomsviking ». Tous les morceaux ont quelque chose de différent, et l’album se dévore tel un bon livre.

9.5/10

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Retrouvez notre interview de Johan Söderberg ici.